Sur le toit, des corbeaux croassent On croirait entendre un quintette pour cuirasses Rien ne bouge... quand soudain... Une petite dame avec un petit seau Arrose un sapin dans un bac en bois là-haut Au vingtième C'est le matin, puis Un homme est tombé dans la rue en quittant son auto Une balle au coeur et quatre au cul Il vendait sur tous les plateaux jusqu'à dans la rue Sous les feux sa grande valse Où le ciel du toc est toujours bleu Les coeurs sont roses Mais l'amour se mord la queue Dans un matin comme tant d'autres Cet homme est tombé dans la rue A l'entrée d'un métro Une balle au coeur et quatre au cul Son sang coulait dans le caniveau Ce grand homme cachait un vieux con
Il suffirait d'une météorite A peine un kilomètre cube de pyrite Pour que tout se mêle à tout Comme ce parfum de la boulangerie Qui traverse l'avenue avec les cris Des passants qui s'énervent Les voilà qui accourent Vers ce pauvre homme étendu dans la rue A la sortie d'un métro Une balle au coeur et quatre au cul Son sang coulait dans le caniveau Ce grand homme cachait un vieux con
Старый дурак.
Слова и музыка: Daniel Lavoie
На крыше каркают вороны. Казалось бы, слышишь квинтет для кирас Все неподвижно… как вдруг… Дамочка с ведерком Поливает ель В деревянном ящике, наверху, На двадцатом. Утро, потом Человек упал на улице, Выходя из своей машины. Одна пуля в сердце и четыре в зад, Его кровь течет в водосток. В этом большом человеке Скрывался старый дурак, Продающий сердце и зад. Он продавал везде, Даже на улице, Под фонарями свой великий вальс, Где фальшивое небо всегда голубое, Сердца розовые, Но любовь ловит себя за хвост. Однажды утром, похожим многие другие, Этот человек упал на улице