L'idée de la mort tétanise ma vie J'ai beau respirer, je ne veux plus lutter J'ai du sang plein les poumons, des cendres plein la bouche (x2) Sommes-nous vivants ou simplement en train de respirer ? Nous sommes tous condamnés (à peine nés !) A un sursis perpétuel L'horloge résonne dans nos cœurs (déjà morts !) Et ses aiguilles tailladent lentement nos veines Le cygne muet hurle un chant que seuls les sourds peuvent entendre Cendres, tu redeviendras cendres