J'sens l'plan ce soir un vieux relent d'mon histoire le temps passe vite, on passe a l'as, on tourne triste si tu t'agites pas, on t'split de la liste t'es plus dans l'vent, a la limite on veut plus t'voir et j'regrette ces annees, entamees, sans tanne fort mordus d'amitie, corps ferus d'infidelite revant qu' on s'rai grand, decidant d'etre president des dissidents qui chantent et dansent comme les forbans faut prendre le temps tant qu'y en a et peu importe le vent tant qu't'es la et qu'on est la en paix, je file, tous ces maux semblent si futiles, quittant la file, je vous laisse, je m'exile... compte, qu'au final, j'suis seul ici a Paris et j'pari qu'la vie que j'mene y a dix ans m'aurai faite gol-ri et parfois j'tra"ne, j'suis plus en phase et le son m'base au fond les phrases, ma facon d'vous mettre en extase mais je m'suis pris au jeu, a toujours faire mieux sans m'poser, toujours des trucs pour m'peser et stresse, y a qu'comme ca qu'j'me sens radieux mais faudra qu'j'te dise adieu, a toi qui m'fais cramer faut prendre le temps tant qu'y en a et peu importe le vent tant qu't'es la en paix, je file tous ces maux semblent si futiles quittant la file je vous laisse, je m'exile...