Taisez-vous tendres mouvements, Laissez-moi pour quelques moments : Tout mon coeur ne saurait suffire Aux transports que l'amour m'inspire A quoi servent ces sentiments ? Dans mes plus doux emportements Ma raison vient toujours me dire, Mais taisez-vous.
Pour le plus parfait des amants Mais taisez-vous.
Elle - Pensez-vous toujours qu'il faut choisir d'être imbécile pour être heureux ?
La cruelle depuis deux ans... Mais hélas ! quels redoublements Sens-je à mon amoureux martyre ? Mon berger paraît, il soupire : Le voici, vains raisonnements,