Marlène s’en va la nuit tombée, elle longe ce soir toute seule. Tout au long des rues perdues, son rouge s’éfface aux murs.
Elle s’arrête au coin là-bas, au Bar der wilden Kerle, voir si elle y trouve un gars qui perd son âme en elle.
Komm doch mit, komm doch mit zu mir ... Ich sag dir, wohin wir geh‘n … Komm doch mit, komm doch mit zu mir, on danse tango, java et valse avant le jour …
Marlène! Tu tournes la tête à ceux qui veulent et ceux qui cherchent plaisir, tu danses tango, java et valse, tu vas jusqu’au délire!
Marlène s’en va le jour se lève, elle longe les rues toute seule. Ceux qu’elle avait rencontrés, ils sont maintenant au ciel.
Ses mains sont sales, ses yeux s’éclatent, son rouge s’éfface aux murs mais dans son cœur personne ne voit le noir de son désir.
Komm doch mit, komm doch mit zu mir ... Ich sag dir, où on va aller …
Komm doch mit, komm doch mit zu mir, on danse tango, java et valse avant le jour … Marlène! Tu tournes la tête à ceux qui veulent et ceux qui cherchent plaisir, tu danses tango, java et valse, tu vas jusqu’au délire!
Marlène! Tu tournes la tête à ceux qui veulent et ceux qui cherchent plaisir, tu danses tango, java et valse, tu vas jusqu’au délire!
Marlène! Tu tournes la tête à ceux qui veulent et ceux qui cherchent plaisir, tu danses tango, java et valse, tu vas jusqu’au délire!
Tu perds ta tête, tu perds ton âme, tu danses et tu délires, personne ne voit au fond de toi, le noir de ton désir.