A présent que tu erres
A travers des terres
Qui me sont étrangères
Là où la nuit est souveraine…
Parfois ton visage émerge
De cette foule incandescente…
Je vois alors clair en moi.
Je reste prisonnière
De peur que tu ne disparaisses,
Tel un amer souvenir,
Qui hanterait mon âme.
Je chanterai ce blâme,
Pétrifiée dans ma destinée.
Les anges t’ont pris la main
Puis ont scellé ton dam.
Parfois ta voix caresse me sens
Et me laisse dans l’absence
De ce monde rempli de messages insensés.
Sons, couleurs s’évanouissent autour de moi,
Je m’achemine vers un monde invisible
Où règnent les songes.
Je reste prisonnière
De peur que tu ne disparaisses,
Tel un amer souvenir,
Qui hanterait mon âme.
En moi survit l’espoir
Un jour de te revoir.
Ensemble, remontons le temps
Et gagnons notre sphère originelle !
Ta voix me parvient,
Etouffée par les cris des damnés…
Et ta douleur se déverse
Dans les méandres de mon âmes…
May that ghost way cast my spell to void
By taking away with my life coldness, pain and oblivion.
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