Oh funeste sort ! Oh, ces ruines, ces corps. Oh, oh je meurs, vengez moi. Oh, oh je meurs, vengez les ! Quel destin fatal inonde ce lieu, O nuit d’effroi, nuit d’horreur. Sur les ruines des temples sacrés coulent les larmes vermeilles Où baignent le peuple trahi, abandonné, massacré. Oh, oh je meurs, mes enfants. Oh, oh c’est lui, vengez les. Dans cette nuit tu viens à nous, pour tous nous faire périr. Traitre, accorde moi leur vie, pour m’aider à mourir. (Bis)
Repente, caelum nigrescat, nebulae se colligunt rapiens uos uitas in noctem sin stellis
Saneday, saneday, promet moi leur protection, leur protection ! Et laisse sur moi se poser les cieux infini, les cieux infinis. La nuit ouvre ses voiles et m’emporte, m’emporte.