wouuuuu ! AnimalSon mec hey hey c’est ça ! la fouine la fouine la fouine bs c la bs potaux c la bs
J'me suis fait coffré comme un naze En gard'av comme un trophé J'déambule en iench dans ma cellule Negro j'repense au Sénégal, à l'île de Gorée 41 balles pour un contrôle, le roi de la pop décolorée Tout l'monde y est allergique. Certains le crack s'rentre Certains se coupent les veines Certains s'pendent pour être à l'air libre Bosser pour survivre Dealer pour vivre Pour que tu kiffes sur la bitch Ta bitch kiffe l'équipe La rue t'attend, la rue te regarde Dans mes rêves ya que des putes d'hélicoptères Echelle - grenade Sûr d'aller en calèche, d'y faire un ptit stage C'est pas du manès La taule, les halls, les tours de manèges Certains figurent dans le Guiness pour leurs aller-retours Premier samedi du mois ton ADN dans un Kleenex Sinon dans ma cellule, J'fais des pompes j'écris des textes, j'taffe Et sur les murs j'ai des photos d'tasses {pétasses}
refrain: Im steady tryna find a motive, Why do what i do?, Freedom aint gettin no closer, No matter how far i go, My car is stolen, no registration, Cops patrolin, and now they done stop me, And i get locked up,
Combien de fois j’ai du m’absenter, partir loin là ou ma seule occupation restait d’chanter. Mais putain j’voulais faire comme eux, j’aurais ptêtre pu finir camé, ouais si j’pensais qu’à moi, la chanter j’m’y attendais pas (mais) Les grands courraient derrière le fric, et nous on courrait derrière eux et les ptits derrière nous, têtes baissées. On aurait pu être blessé, où même pire victimes d’un essais, bah tiens demande à ceux qui ont un frère en terre et puis une mère déçue ! Dieu merci, j’ai jamais ôté une vie, ou bien violé une fille, j’me rends compte aujourd’hui qu’la vie n’tient a qu’un fil ! J’mérite aucuns trophée, même si j’en ai trop fait, j’en tire aucuns profits, pour vous, mon autobiographie ! Avec mon joint a la bouche, j’me croyais tout permis, et j’croyais tout faire mieux, et mieux, j’étais libre, même enfermé (clair que) j’avais changé frère, j’trafiquais la 100 j’eclair, sans éfforts j’étais devenu quelqu’un d’autre, et ce en un éclair, seulement si j’écoutais les parents, eux qui n’étaient pas préparés ouai j’les rendais tarés, j’voulais fumer et puis m’marer, avec les tchoin j’disais qu’c’était mon choix tu parles d’une vie tu parles d’un choix quand c’est ceux qui t’aiment que tu déçois !!! j’comprenais pas trop c’qui m’arrivait, la chose est sûre c’est qu’dans ce putain de whisky de merde frère j’ai mariné, et bien sûr j’avais des projets, mais au lieu de les concrétiser, avec les potes, j’comptais fumer et puis j’comptais tiser. On pensait qu’a moyenner, avec la maille où non, ouais des meufs fats ou non, voyait les ptit sucer des Fiat Uno ! J’étais dans l’ignorance, inconscient de mes actes, influencable je suivais le troupeau, écoutant ceux qui jactent. C’est l’commencement de la fin, il a rien compris l’enfant, et le début d’la fouien quand il buvait et fumait à la fois ! Complètement die, j’aurais pu te la danser ou même te la graffer, mais bon jte la chante, (mon autobiographie) Si j’te raconte tout ça, c’est pour plus que ça n’arrive, ouais pour plus qu’un canif transperce un ptit naïf, même si c’est la iev, la merde il faut passer dedans pour voir que ça fait mal, pour voir que c’est infernal, j’aurais pu clamser pour des affaires nules. Tu parles d’un avenir po