Le ciel est gris, Les sapins dessinent Quand vient la nuit Une prison d'épines. Terreau d'ennui Où l'on prend racine On voudrait, on voudrait Ici on naît, on vit et on meurt On se connaît, on se sait par cœur Tout est parfait jusqu'à la terreur On voudrait, on voudrait
Couper les virages Mettre le feu au poudre Et rouler et rouler Beau comme l'orage Et vif comme la foudre S'en aller Couper les virages Ne plus suivre les lignes Et rouler et rouler Sortir de la cage Décoller la résine S'en aller
Tout est en panne Tout semble fini Les caravanes sont scellées aussi Bob Dylan, la Californie On voudrait, on voudrait Cheval de peine Comme je te déteste Comme elle se traîne Ta chanson de geste Le vent des plaines Nous poussent vers l'ouest On voudrait, on voudrait
Couper les virages Mettre le feu au poudre Et rouler et rouler Beau comme l'orage Et vif comme la foudre S'en aller Couper les virages Ne plus suivre les lignes Et rouler et rouler Sortir de la cage Décoller la résine S'en aller
Le ciel est gris, Les sapins dessinent Quand vient la nuit Une prison d'épines.
Couper les virages Mettre le feu au poudre Et rouler et rouler Beau comme l'orage Et vif comme la foudre S'en aller Couper les virages Ne plus suivre les lignes Et rouler et rouler Sortir de la cage Décoller la résine S'en aller
Couper les virages Beau comme l'orage Couper les virages Sortir de la cage Couper les virages Beau comme l'orage