La marelle
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Dans ma quête d'harmonie je me dis souvent qu’il soufi d'être seul puisque de
toute façon personne ne me comprend ... enfin je crois depuis presque
toujours...
A la recherche du nirvana cette alors que j'imagine et ferme les yeux porté
dans ma musique en idéaux toujours à attendre. Bizarrement tout cela semble
tellement facile dans ces moments nourris de "l'égoïsme" inouïe et d'une
souffrance inexplicable relative de solitude destiné ou choisie ...
Ces paradoxes c'entremêlé et dont naissance à une passagère euphorie ; c'est
très difficile d'expliquer toute cette chose ci étranges a quelque qu’on "aime
bien"... mais qu’on souhaite le faire porter à coté de soit dans ce monde
imaginaire qui devient d'un plus un plus ma propre réalité.
Fouir ; ne pas obéir ; sentir le poids du fugitif en quête de liberté
s'apparente chez moi comme une forme d'amour propre conscient de sentir le
rejet de l'autre à des kilomètres à la ronde .Triste constat du l'homme moderne
semblent heureux et tellement communicatif dans un espace sociale d'un plus en
plus restreint.
Hélas on c'approche pour mieux nous regarder, nous assuré qu’on n’est pas seul
et nous dire au fond de nous-même à quel point nous nous détestons d'être enfin
ensemble depuis la grotte rupestre jusqu’ à nos jours.
Les survivant ces pacs ou ces marie encore c'aime et me donne espoir qu’il
n'est jamais trop tard pour continuer un songe et le bâtir à deux.
Partir d'une solitude dompté depuis 20 ans pour retrouver abandonné le risque
d'être encore exclus m'oblige aussi d’aimer vraiment très sincèrement et ne
rien attendre en retour mais cela de manière légèrement prudente .
Je ne crois pas mais j'espère; ça n'a encore tué personne jusqu’à ce jour, non
? !
A ta recherche j'allume progressivement une flamme depuis longtemps éteinte ;
les braconniers d'amour et de tendresse m'envoute et je me tante ; un pas ,
trois pas ,rien qu’une marelle :le feux au yeux , sourire au lèvre ainsi je
peux te voire je tende ma main , je jette une pierre , je saute encore : je
recommence ?! ...
Je deviens un p’tit enfant, je me surprends les bille en poches, je tourne la
tête, je t’aperçois avec sourire et je me dis que toute cela n'a "jamais fini"
mais à peine commencer !
Je t’aime !
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ALEXANDRE STARK ©
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