Au crépuscule du règne de l'humanité Je me suis élevé, érigé par les miens... De ma naissance, nul n'avait conscience Et pourtant du vice, je devais être l'essence...
Ignorant mon être, abreuvant mon mal-être Du répugnant bien-être de cette masse indigeste; Ils pourrissaient l'Ether de leur présence de traîtres Ô Terre ! Ils devaint s'éteindre par ton humble geste
Invouque l'Hiver! Ses songes embraseront alors notre univers! Ô flammes de ses réves! La vie prendra ses racines dans lobscur tombeau des saisons
Lassitude et rejet: fruit d'une telle errance Et de ce dont j'eus besoin, mon âme n'eut que carence Ah! Cette vie éternelle je ne puis supporter Mai quel es dont ce sang Qui ne m'accorde repos?
Hiver! Quand ta beauté glaciale pourfenda-t-elle les âmes? Quand viendras-tu nous enivrer de tes songes de l'Arcane? Car de toutes ces pensées qui me déchirent le corps Combien de questions avant que l'on m'égorge... comme un porc!
Hiver, ta beauté m'enivre et m'apelle dans le monde éphémère de tes rêveries; Semblable aux abysses qui hantent le le coeur des mers, Je suis la depuis toujours, et nul ne me connaît. Mais le silence qui m'assourdit sera bientôt couvert Par le souffle glacial de l'Hiver Oh! Les songes de l'Hiver!
Ô Terre! Que le métal noir invoque l'Hiver Pour ques ses songes embrasent notre univers! Ô flammes de ses réves! La vie prendra ses racines dans lobscur tombeau des saisons