C’est au fin fond de cette grande forêt, Dans la clairière, le jour disparaît, Premiers frissons, un à un, ils se placent, Blanche la lune et les loups face à face.
Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols. Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols.
Quelques éclairs brillent dans la nuit claire, Un œil perçant, un œil éclatant, Assis par terre tendus sur leur derrière, Ombres de loups donnent froid dans le cou.
Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols. Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols.
SOLO GUITARE
Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols. Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols.
Toute la nuit aux sons d’accordéons, Louves et loups chantent et dansent tous en rond. Personne ne doit passer dans la clairière, Trop dangereux même pour les vipères.
Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols. Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols.
Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols. Ils s’élancent, ils virent, ils tournent et ils volent, Valsent les loups, valsent, valsent comme fols.
Puis un à un, ils disparaissent, Dans la clairière plus rien ne reste. Traces de cendres dans les brumes de Novembre, Le feu est mort, mais les loups vivent encore. Le feu est mort, mais les loups vivent encore. Le feu est mort … Mais les loups vivent encore.