Pas d'autre chance n'est donnée chantait l'américain du sud aux fils des lignes condamnées à cent années de solitude
Quand il pleurait ces tangos dans les bars et que j'avais si soif, decrepitude une taffe et un qualude une bière et va dormir chez mes souvenirs, tout le monde se sauve j'enterre tout ce que je sais, sauf
Un bandoneon qui m'attend entre la morte, et l'inquietude, et me dit que vivra cent ans, vivra cent ans de solitude
Longues les nuits, sans les bras autour longue la vie, sans amour longue est l'année qui passe sans passer par le coeur
Longs les jours sans tendresse à faire plutôt que manger la terre tournez autour. Au premier chien de mer que je trouve en partance qu'il m'emmène à buenos aires un soir de dance Là je retrouverai, l'américain du sud pour un tango j'oublirai cent ans de solitude.