Une petite femme japonaise Sort de son sac un petit miroir Elle fait des petits gestes à l’aise Et peigne ses cheveux noirs Geisha moderne qui met des robes, et des talons Elle sert dû thé dans un salon
Une petite femme Japonaise Une vraie princesse de vibraphone. Joue la musique javanaise Parmi les bruits du bar Sablon Ses baguettes roses racontent des choses, mais tombent soudain Aux pieds d’un homme séduisant
“Poupee, comment tu t’appelles?” “Je m’appelle Mika Mimura.” “Tu es trop belle!” “Et toi charmant…” “Poupée, viens voir ma maison, Un palais pour ton vibraphone!” “Monsieur, vous êtes trop gentil, mais je ne peux pas aujourd’hui. Je viens demain, pas de souci.” “Poupée demain, malheureusement je pars aux iles Canaries…”
Une petite femme japonaise à la peau douce et fine oublie ses baguettes roses sur une chaise du café de la Rue d’Berri quand elle revient, c’est surprenant, elles ne sont plus la elles se retrouvent aux mains d’un gars
“Poupée, comment tu t’appelles?” “Je m’appelle Mika Mimura” “Tu es trop belle…” “Et toi charmant!” “Poupée vient boire un petit pot, j’adore le son du vibraphone!” “Monsieur, vous êtes trop gentil, Mais je peux pas aujourd’hui. Je viens demain, pas de souci.” “Poupée demain, malheureusement je pars au lac de Malawiiiii…”
Une petite femme Japonaise Qui tire une ligne sur ces cils Je la vois comme elle porte a l’aise Son baume à lèvre rouge cerise elle joue ce soir, elle va au bar mais tout d’un coup ces baguettes roses tombent dans la rue