Mon Dieu mon amour (en duo avec Philippe Katerine)
J'ai cru oublier ce moment précis où mes doigts se posaient sur le piano je me souviens seulement c'était la nuit tu chantais dans cet habit blanc d'été un chant d'été qu'en disait trop
J'ai cru oublier cet instant précis mais il revient maintenant vague et ressac des flots ta bouche ouvrait en notes si précises si légères et si chaudes un champs de dunes un monde nouveau tu en sais trop
Mon dieu mon amour cette mélodie me retournait le cerveau et j'écoutais comme au ralenti ta voix d’enfant sans les mots
C'était un soir d'été à Paris fenêtre ouverte car il faisait chaud mais tout s'éclaire maintenant avec une certaine ironie comme c'était beau comme c'était chaud tu en sais trop
Mon dieu mon amour cette mélodie un astre clair un chant d'oiseau nous chantions au milieu de la nuit une litanie sans les mots
Aujourd'hui je me demande si c'était écrit aujourd'hui encore il fait beau se peut-il seulement que l'on oublie ces jours où l'on existait trop comment peut-on exister trop exister trop
Mon dieu mon amour cette mélodie un astre clair un chant d'oiseau nous chantions au milieu de la nuit une litanie sans les mots (bis)