Dieu qu’elle est ronde La lune est surtout plus blonde que Paris Qu’il est immonde ce thaï à gout d’éponge que j’essuie
Quand on voit la vie comme ci On vit la vie comme ça Je sais que mon ombre me suit Mais je ne lui parle pas
Tu n’es pas le vent Tu n’es pas la pluie Tu n’es pas de mon sang Tu n’es plus de mes nuits Et pourtant je te vois partout J’ai beau rouler cesse de vivre par tous les gouts Je suis là je t’attends Je bouge pas d’ici
Nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan Si, si, si, si, si, si, si
Dieu qu’elles sont longues Ces nuits à rallonge sans envie De là ou je plonge sur … au vertige on tombe
Quand on voit la vie comme ci On vit la vie comme ça Je sais que mon ombre me suit Mais je ne lui parle pas
Tu n’es pas le vent Tu n’es pas la pluie Tu n’es pas de mon sang Tu n’es plus de mes nuits Et pourtant je te vois partout J’ai beau rouler cesse de vivre par tous les gouts Je suis là je t’attends Je bouge pas d’ici
Nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan Si, si, si, si, si, si, si
Nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan Si, si, si, si, si, si, si
Tu n’es pas le vent Tu n’es pas la pluie Tu n’es pas de mon sang Tu n’es plus de mes nuits Et pourtant je te vois partout J’ai beau rouler cesse de vivre par tous les gouts Je suis là je t’attends Je bouge pas d’ici
Je suis là je t’attends Je bouge pas d’ici
Nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan Si, si, si, si, si, si, si