Dans les champs de coton, minuit a sonné Et les promesses se sont d'un coup évaporées. Mais, silencieusement, et sans douleur, Cette alarmante douceur des mots a pris mon coeur.
Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure. Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure.
Même si tout est écrit, on ne peut entraver, Sur du papier, le sentiment de liberté. Mais, rien n'est jamais affaire classée, Cette alarmante douceur des mots pourrait casser.
Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure. Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure.
Dans le dancing désuet, trois heures ont sonné. Ces mots étranges, que tu m'as dits, m'ont fait tomber. Mais, elle s'est tâchée, ma robe en prose, Et l'alarmante douceur des mots en est la cause.
Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure. Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure.
Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure. Si tu mens, moi je pleure, moi je pleure.
Comme il est clair ce ciel, Il a perdu ses nuages, il a perdu ses mirages. Comme tu es clair ce soir. Libéré de tes songes, tu as perdu tes mensonges. Vos commentaires sur La Raison Pure Votre commentaire