Elle m'a sourit quand le jour m'a déposé. Contre son autre, son autre. Quand elle m'e dit "s'il te plaît laisse toi aller, on ne vivra plus jamais, l'un sans l'autre" Et je me perd, je la laisse faire. Et je saigne, quand elle me serre contre elle. A tort ou à raison, je sais qu'elle tient mes rêves. Et je saigne quand elle me serre contre elle. A tort ou à raison. Et je saigne quand elle me serre. Elle me défie, je reviens la démasquer. Elle se retient d'essayer, côte à côte, comme les autres. Loin des sourires, loin de nos rêves éveillés. Elle fuit la réalité, comme les autres. Et je me perd.Je la laisse faire. Et je saigne, quand elle me serre contre elle. A tort ou à raison, je sais qu'elle tient mes rêves. Et je saigne quand elle me serre contre elle. A tort ou à raison. Et je saigne quand elle me serre. (Quand elle me serre.) Et je saigne, quand elle me serre contre elle. A tort ou à raison, je sais qu'elle tient mes rêves. Et je saigne quand elle me serre contre elle. A tort ou à raison. Je saigne quand elle me serre. Et je saigne.