J'ai peur de mes rêves de faïence qui brulent dans ma tête en silence Sur des nappes de pierres immenses Et je pense, le corps en extase dans son corps, Les prières sombres des morts L'esprit me sert de décor Et je dors Et le vent m'entraine dans la laine Des tissus et des robes affricaines Je glisse sur un tapis de Bohème Adieux, Les éclats de verres sous mes pieds Ne pourront jamais refleter, Le son des violons enchantés, Rêver