Ave Maria (J. Caccini - Texte : Kodiak - Arrangements : Cassiopée, Simon Blouin)
Les palais des grands regorgent de femmes et les cabanes de pauvres enfants Le riche songe au futur alors que le pauvre songe au présent, Troublé, troublant, dans ce monde fait parti de l’arrière plan. Espère désespérément remplir la main du mendiant. C’est dommage, les plus beaux oiseaux sont en cage Le rouge gorge de talent regorge mais n’est pas vedette dans ce long métrage Le sage parle des idées mais l’intelligent lui les fait D’une manière ou d’une autre c’est l’argent qui rend le tout concret.
L’administration des ministres s’administre trop sinistre Ces funambules tristes complices nous administrent par leurs caprices Les combinaisons qu’ils combinent dans nos esprits s’impriment Ces corrompus nous corrompent et comme l’éléphant, nous trompent. Tel une brise qui nous brise, tel une bourrasque qui nous harasse. Le vent se lève, haut comme le glaive nous frigorifiant sur place…
Est-ce les hommes qui sont aveugles… inconscient comme disait Freud?