Je vous regardais tendrement, J'aurais bien voulu vous parler, Mais le courage m'a manqué. J'aurais voulu vous emmener, Faire quelques pas à mes cotés, Sans pour cela imaginer. Imaginer un tas de choses, Des choses que je n'ose vous dire madame, Et pourtant, je pense à vous bien souvent.
Souvent je pense à vous madame, Souvent, je vous revois madame, Je suis heureux j'ai des idées, Et peut-être à demain, vous me prendrez la main. Souvent, je pense à vous madame, Souvent, je vous revois madame, Ne me dîtes pas de m'en aller, Je pourrais en souffrir et peur-être en mourir.
J'ai au coeur une vieille solitude, Viendrez-vous du nord ou du sud, Pour devenir mon habitude, Vous serez mon premier été, Ma rose et ma source cachée, Laissez-moi donc imaginer, Imaginer un tas de choses, Des choses que je n'ose vous dire Madame, Et pourtant, je pense à vous bien souvent.
Souvent je pense à vous madame, Souvent, je vous revois madame, Je suis heureux j'ai des idées, Et peut-être à demain, vous me prendrez la main. Souvent, je pense à vous madame, Souvent, je vous revois madame, Ne me dîtes pas de m'en aller, Je pourrais en souffrir et peur-être en mourir.
Souvent je pense à vous madame, Souvent, je vous revois madame, Je suis heureux j'ai des idées, Et peut-être à demain, je vous prendrais la main. Souvent, je pense à vous madame, Souvent, je vous revois madame, Ne me dîtes pas de m'en aller, Je pourrais en souffrir et peur-être en mourir.