Tu ris si mal, tu ris de vide Des taches de vin sur ta chemise Qui a deux boutons éclatés Sur ton corps qui me repoussait Tu fais l’amour en deux poussées Blâmant le manque et la tournée Et pendant que tu t’articules Moi je soupire et toi tu me Menaces de partir Parce que je hurle Quand tu chantes tes souvenirs Eh bien chéri Prends donc la porte Car tu sais que plus rien ne m’importe Mais dis-moi adieu demain Mais dis-moi adieu en chemin Va voir les autres, je n’en pense rien Je t’ai aimé mais je t’assure que c’est la fin Crois-tu pouvoir enfin me dire Que tu veux bien qu’on reste amis Non c’est gentil, ça va comme ça Des amis j’en ai plein déjà Je n’aurai donc plus à t’entendre Rentrer la nuit quand j’attends l’aube Qui arrive en poussant les heures Moi je me lève et toi tu me Menaces de partir Parce que je hurle Quand tu chantes tes souvenirs Eh bien chéri Prends donc la porte Car tu sais que plus rien ne m’importe Mais dis-moi adieu demain Mais dis-moi adieu en chemin Va voir les autres, je n’en pense rien Je t’ai aimé mais je t’assure que c’est la fin Mais dis-moi adieu demain Mais dis-moi adieu en chemin Va voir les autres, je n’en pense rien Je t’ai aimé mais je t’assure que c’est la fin