Tu reviens dans le parc je ne t’attendais plus Tu reviens sur le lac à la fin de l’été Tu embarques sous mes yeux En eau trouble, en eau trouble Rien ne cède, rien ne coule depuis toutes ces années Je préfère les rivières aux étendues salines La violence des courants et le lit qui déborde J’ai passé tant d’années dans l’ombre à t’aimer Si je tremble c’est qu’aujourd’hui je vais jeter
Au vent tes plus belles lettres Je jetterai au vent tes plus belles phrases Que tu ailles au diable Je connais trop les déserts que tu portes
Allez au vent tes plus belles lettres Je jetterai au vent tes plus belles phrases Que tu ailles au diable Je connais trop les déserts que tu portes
Je ne regrette rien, à l’usure à l’usure Je n’attendais plus rien des jours avec toi Si l’amour nous quitte sans jamais nous saluer Nous n’avons jamais su l’embrasser
Et ce ciel nous oublie quand il n’y a plus de jour Et ce ciel nous oublie quand il n’y a plus de nuit Que deviennent nos prières et nos promesses passées Si je tremble c’est qu’aujourd’hui je vais jeter
Au vent tes plus belles lettres Je jetterai au vent tes plus belles phrases Que tu ailles au diable Je connais trop les déserts que tu portes
Allez au vent tes plus belles lettres Je jetterai au vent tes plus belles phrases Que tu ailles au diable Je connais trop les déserts que tu portes
Au vent tes plus belles lettres Je jetterai au vent tes plus belles phrases Que tu ailles au diable Je connais trop les déserts que tu portes
Allez au vent tes plus belles lettres Je jetterai au vent tes plus belles phrases Que tu ailles au diable Je connais trop les déserts que tu portes