Le ciel était trop bleu Lorsque je les ai vus Ils avaient l'air heureux Perdus dans la cohue Y'avait une fête foraine Et ils y sont allés C'était la fin de la semaine Tout le monde était gai
Et près d'eux Les manèges tournaient, les manèges tournaient Au rythme des flonflons, au rythme des flonflons Les manèges tournaient, les manèges tournaient En faisant éclater, les rires et les chansons
Ils se sont arrêtés Près des chevaux de bois Là il lui a parlé En élevant la voix Elle s'est mise à pleurer Dès qu'il n'a plus rien dit Puis ils ont continué Mais le ciel était gris
Et près d'eux Les manèges tournaient, les manèges tournaient Au rythme des flonflons, au rythme des flonflons Les manèges tournaient, les manèges tournaient En faisant éclater les rires et les chansons.
Sans qu'ils se disent un mot Leurs mains se sont lâchées Sans qu'ils se disent un mot Ils se sont séparés C'est facile à décrire Mais c'est bête à pleurer Que dans un flot de rires Deux cœurs se soient noyés
Et toujours Les manèges tournaient, les manèges tournaient Au rythme des flonflons, au rythme des saisons Les manèges tournaient, les manèges tournaient En faisant éclater les rires et les chansons
Et près d'eux Les manèges tournaient, les manèges tournaient Au rythme des flonflons, au rythme des saisons Les manèges tournaient, les manèges tournaient En faisant éclater les rires et les chansons
Et près d'eux Les manèges tournaient, les manèges tournaient La la la la...