J'était p'tit gars déjà que je voulais grandir Que le temps du temps me donne d'avoir des souvenirs Et sans pour autant y accorder trop d'importance Il se pourrait que ça m'es causé quelques absences
Des fois même j'disais des choses qui faisaient marrer Avec un peu de recul ça pouvait être ma naïvetée Un presque rien un gros chagrin aussi vite effacé Qu'un gros calin des presque rien qui font du bien
Refrain Alors qu'avant je devenais et que plus tard j'étais Maintenant je ne suis plus las de piétiné faire les cent pas
Déjà le temps passe que j'adopte la poisse De belles envies de penser qui demeurent assez coriace Et quand la gente féminine devient trop intrigante La conception d'un avenir plutôt lancinante
Quand au trop plein d'idées, c'est pas vraiment ce qui manque Les convictions que j'en ai pluôt emmerdante La peau à coeur de fleur de manque de peau vite effacé sans coup de calin d'un presque rien vite oublié
Refrain
Les pieds dans le plat de cette tambouille du devenir Où le temps rattrape enfin le meilleur du pire De cette course au comme tout le monde trop élancée Et si j'y arrive je pourrais bien être le premier
Tout ce bouscule, j'aimerais pouvoir faire marche arrière Redevenir p'tit gars qui n'a pas de plan de carrière Un tout ou rien la peur au doute vite effacé calin coquin un presque rien et rien
Refrain
Alors qu'avant je devenais et que plus tard j'étais Maintenant je ne suis plus las de piétiné ...