L’été, l’été souverain peut bien nous bercer Tout le long des rues, sillonne-les, sillonne-les C’est drôle en l’absence, de freins si tu penses Qu’on peut arrêter
Oh arrêter Oh ne prends rien, ça vaut mieux Ca ne changera rien Du moins
Si il pleut, oh si tu veux bien J’irai visiter les villes qu’on avait survolées, survolées C’est drôle en l’absence, de fin si tu penses Qu’on doit arrêter
Oh arrêter Oh ne prends rien, non, ça vaut mieux Ca ne changera rien Du moins, si il pleut Prends l’argent Allez, Fous le camp
Divise ça en mille si tu veux Si ça va trop vite oh dis-le ! Les promesses, ma jeunesse J’aime encore l’été délicieux Les rives et les printemps heureux La bohème, oh la bohème