Excedé sans méme tourner autor du pot Ohoh Les jardins du mal allaitaient Héhé Mes Fantasmes les plus radicaux Ohoh Tes yeux vitreux, tes lévres gercées blessaient Mon envie d'faire taire ton égo Ohoh Mon envie d'faire taire ton tes maux Ohoh D'acerer mon épée Mais depuis l'temps que l'on s'ignore Je ris, je danse ton triste sort Les bons moments, les crises de dior Tes vices flagrants sur l'dos des morts J'ai appris Qu'une odeur de ceprine fraiche Ne fait ni l'amour ni l'ivresse Ne suscite pas la moindre messe Et m'adapter a ton ton tempo ohohoh ohohoh Et adopter tous ces echos Et caresser tes crises d'égo D'acerer ton épée