On l’appelait Don Juan. En ce temps-là, aucune femme ne résistait au charme de ce jeune noble Espagnol. Certains disait qu’il les envoûtait, d’autres racontent encore que la main du diable était posée sur son épaule. Car Don Juan ne connaissait ni amour, ni pitié, ni regret, ni respect. Mais cette nuit-là, pour avoir voulu céduir la fille du Commandeur, le destin en a décidé autrement. Il était une fois à Séville...
Un grand homme est mort Un grand homme est mort Que faudra-t-il faire Pour qu’on s’en souvienne encore Celui qui le tue S’en va comme un voleur Faisons une statue A l’image du commandeur A l’image de l’homme Qu’il était vraiment Un père espagnol Tué par Don Juan On la posera là Sur la place d’honneur Pour que tout le monde voit La statue du Commandeur