Miroir, ô mon miroir t'as pas besoin. De me dire qu'aujourd'hui tout va bien. Ne vois-tu pas que tout bien réfléchi. Je me plais enfin dedans c'est parti
Baer: Qu'est ce qu'elle s'imagine? Qu'est ce qu'elle croit? Elle qui passe tant de temps devant moi. Elle part pas sans mascara, mets ton fard à paupières, sinon sans ça qui te reconnaitra?
Babet: On a pleins d'atomes crochus, partout, dessous, dessus. Avec lui, je cours à pas de géant. C'est le bon, souvent c'est évident. C'est évident.
Baer: Mais de qui tu causes loin moi? Viens voir, si tu l'oses, ce que j'ai là. Ce petit bout de scotch et de ce portrait arrachés.
Babet: Je les décolle maintenant.
Baer: Allez, va-t-en.
Babet: Miroir, ô mon miroir, tu sais bien, que je n'te caches rien, mais il m'attend. Ce soir, je ne rentre pas. A demain. Mon joli prince soupire en bas.
Baer & Babet: On a pleins d'atomes crochus, partout, dessous, dessus. Avec lui, tu cours à pas de géant. C'est le bon, c'est évident. On a pleins d'atomes crochus partout, dessous, dessus. Avec lui, tu cours à pas de géant. C'est le bon, c'est évident. Et c'est navrant.
Baer: Alors, c'est à cette heure-ci que tu rentres?
Babet: Viens donc par là, viens je te présente. Voici Miroir, Miroir, Voici Edouard.
Baer: Bonjour, il m'a l'air bien, il me rappelle vaguement quelqu'un. .. Ah, j'l'ai au bout d'la langue, mais si, là, avec le..oh..le.