Sur un banc j'écoute la marée de mes aïeux et des souvenirs laissés naviguant sur le flôt des années vers un ailleurs qui pourrait me ressembler je cours la vie comme je sens m'ouvrir au monde admirer son empire
j'entends la force des gens Si l'on savait s'ouvrir à d'autres mondes Si je pouvais écrire chaque seconde se réveiller, dimentionner un monde qui nous ressemble lever, les mains, crier Ce que nous sommes.
j'écoutais l'histoire de l'homme mué de ces grands geste avec son air un peu fier l'ordre des mots n'est pas dans la parole son coeur est chaud et son histoire n'est pas folle quand il pense on revient en enfance comme le silence fait résistance
Il prend la vie comme il sent s'ouvrir au monde admirer son empire Il entend la force des gens
Si on savait s'ouvrir à d'autres mondes si je pouvais écrire chaque seconde se réveiller, dimentionner un monde qui nous ressemble lever les mains, crier ce que nous sommes
je prends la vie comme je sens m'ouvrir au monde admirer son empire j'entends la force des gens
Si on savait s'ouvrir à d'autres mondes si je pouvais écrire chaques secondes si on savait laisser la place → http://songspro.ru/33/Fabien-Incardona/tekst-pesni-Ce-Que-Nous-Sommes-minus