Je me réveille, goût amer, envie de rien De rien, ces matins
Mon cur est lourd à faire pleurer le chagrin Chagrin, ces matins
Et puis jétouffe, ma peau est bien trop petite Mal de vivre, ces matins
Monsieur Baudelaire vient me parler de son spleen Pas didéal, ces matins
Au fond dun lit jétouffe ma déprime Tout seul comme un chien
Autour de moi, les murs me semblent bien vides Trop vides, ces matins
Comme cest bizarre, les amis ne sont plus là Quand on en aurait besoin
De toutes façons, ils ne me comprendraient pas Cest là pour rire, les copains
Dehors la valse est bien orchestrée Lala lala lala lala Dehors le bal a commencé Lala lala lala lala
Saut de métro quai en première Terminus changement cavalière Le grand manège tourne bien Lala lala lala lala Il y a du soleil ces matins Lala lala lala lala Pas plus damour que de grimaces Indifférence et le temps passe
Il y a le flot des pensées un peu débiles Débiles, ces matins
Barre de valium aux arrières-goûts de partir Partir, ces matins
Devant ma glace, je me regarde et je ne sais plus très bien Même plus dorgueil pour pouvoir me prendre en charge Me supporter, ces matins
Mais suffit dun rien, dun vieux bruit de téléphone Pour tout réveiller
Salut cest toi, tu nallais trouver personne Jallais toublier
Suffit dun rien pour que se refasse un masque au sourire un peu figé Pour quon oublie que lon était dans le noir, quun soleil allait tomber
Dehors la valse est bien orchestrée Lala lala lala lala Dehors le bal a commencé Lala lala lala lala
Saut de métro quai en première Terminus changement cavalière Le grand manège tourne bien Lala lala lala lala Il y a du soleil ces matins Lala lala lala lala Pas plus damour que de grimace Indifférence et le temps passe
Lala lala lala lala Lala lala lala lala Pas plus damour que de grimaces Indifférence et le temps passe