Oh mon cher amant, je te jure
que je t'aime de tout mon cœur.
Mais vrai, la misère est trop dure
et nous avons trop de malheurs.
Tu dois le comprendre toi-même
que cela ne saurait durer
et qu'il vaut mieux, Dieu que je t'aime,
et qu'il vaut mieux nous séparer.
Crois-tu qu'on puisse être bien tendre
alors que l'on manque de pain?
À quel transport peut-on s'attendre
en s'aimant quand on meurt de faim?
Je suis faible car je suis femme
et j'aurai rendu quelque jour
le dernier soupir, ma chère âme
croyant en pousser un d'amour.
Ces paroles là sont cruelles,
je le sais bien mais que veux-tu?
Pour les choses essentielles
tu peux compter sur ma vertu.
Je t'adore, si je suis folle
c'est de toi compte là-dessus.
Et je signe la Périchole,
qui t'aime mais qui n'en peut plus.
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