Figaro, mon vieux brigand Figaro-ci, Figaro-là Tu reviens toi tout seul Toute une nuit à l'opéra. C'est probablement ce que monsieur Rossini se disait En lisant les belles pages de monsieur de Beaumarchais. En lisant les belles pages de monsieur de Beaumarchais.
Un barbier de qualité Sa guitare sous les bras Ça fera le tour du monde Si la musique est de moi La romance de Rosine Et du conte Almaviva Le succès devient triomphe Si l'on fait chanter tout ça. Mamma mia, mamma mia Rossini dit à sa mère Mamma mia, mamma mia Ce barbier se chantera Frinke, frinke, frinke, frinke, frinke, frinke Ce barbier se chantera Frinke, frinke, frinke, frinke, frinke, frinke Ce barbier se chantera La la la la la la la la la la La la la la la la la la la la La la la la la la la la la la La la la la la la la la la la
Ce que l'on n'a jamais su Ce que personne ne saura C'est ce qu'Augustin Caron de Beaumarchais pensait de ça Il avait quitté Paris Pour se fixer dans l'Au-delà Vingt années avant que Rossini N'écrivit son opéra. Vingt années avant que Rossini N'écrivit son opéra
C'est ainsi qu'un Espagnol Imaginé par un Français Sur des scènes italiennes Un beau jour se mit à chanter Bien avant tous les ministres Ils avaient fait l'Europe à eux trois Et sans que la politique N'ait rien à voir avec ça Mamma mia, mamma mia Aujourd'hui la terre entière Mamma mia, mamma mia A chanté ce barbier-là. Frinke, frinke, frinke, frinke, frinke, frinke De l'Australie au Canada Frinke, frinke, frinke, frinke, frinke, frinke De l'Australie au Canada La la la la la la la la la la La la la la la la la la la la