Un satyre cornu qui n’est pas trop habile (bis)
Amoureux devenu d’une tant belle fille
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
L’ayant entre ses bras, dedans un bois seulette (bis)
Ne la devait-il pas coucher dessus l’herbette ?
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Il lui porta la main bien haut sous sa chemise (bis)
Si bien que ce vilain en humeur l’avait mise.
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Ce badin toutefois eut si peu de courage (bis)
Qu’elle sortit du bois avec son pucelage.
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Mais tout cela n’est rien qui ne fait autre chose: (bis)
Le plus souverain bien, c’est de cueillir la rose.
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Hélas ! Faut-il tromper les filles de la sorte ? (bis)
On lui devrait couper les trois pièces qu’il porte !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
Non, ne lui coupez pas, laissez-lui son pauvre cas !
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