c'est quand la nuit m'échappe et que je ne peux pas dormir que mes désirs reviennent bien avant toi
quand je passe mes jours à oublier ces nuits quand je t'appelle et que tu n'entends pas
alors je me souviens des choses les plus simples les choses qu'on a dit ne jamais oublier
il faut marcher longtemps pour en finir de ces langueurs il faut fermer les yeux partir ailleurs
et les saisons qui traînent entre paris et l'océan un ennui qui grandit en symphonie
c'est quand la nuit m'échappe et que je ne peux pas dormir et c'est quand tu es lasse bien avant moi
and then i think about the simple things we said the things we promised never to forget
je considère celle-ci comme ma chanson la plus aboutie, dans la simplicité, justement ! les multiples reprises, notamment par des artistes anglophones [dave van ronk, june tabor, joan baez avec maxime le forestier], m’ont conforté dans cette réflexion sur sa limpidité je m’efforce depuis lors d’écrire clair, simple, sans toutefois y parvenir toujours
enregistrée aussi par : dave van ronk | joan baez & maxime le forestier | june tabor
figure aussi sur bel, tri, the simple things we said