Les oscines chantent des morceaux de vitres dans mes yeux Let ces deux là, ces flammes dans l’hiver elles sont si belles, dans leur étreinte elle ne forment qu’un corps creux la douleur de l’amour nous libère
Et si tu me demandes de partir avec toi je n’hésiterai pas même un peu tu vas me répéter que nous deux c’était trop sérieux l’amour véritable est aux rebelles
laisse-moi l’aimer comme je t’aime pour un instant l’amour véritable est aux rebelles
c’est l’aube et c’est peut-être ma chance de mourir heureux l’amour véritable est aux rebelles je prie, je te demande que ce moment dure toujours, mon dieu je compte les secondes, elles sont si belles
belle comme on la voulait je la prend ensuite vos regards s’emmêlent puis elle ferme les yeux pour mieux m’entendre je lui demande de jouir dans sa langue puisque nous sommes chez elle j’ai oublié les mots exactement
et si tu me demandes de partir avec toi je n’hésiterai pas même un peu mais ce matin mon coeur s’est séparé en deux l’amour véritable est aux rebelles