En grande bobine, on se refait le film tous les soirs de la semaine soustitré 16 / 9 : tu me fais le coup du spleen moi, celui de l’homme idéal : je t’offrirai un domaine où je plus , où j’aurai ma peine.
Mais il y a des matins comme ça Ah ah
On se coince, on se défile Quand nos coeurs se mélangent Nos esprits ne tiennent plus qu’à un fil.
Si on prenait le temps de se toucher Je te rendrais les coups que tu m’as donnés Si on prenait le temps de se parler Je te dirais combien je te hais.
À quoi on joue, dis-moi, oui, à quoi on joue, quand plus rien ne bouge autour de nous
Si tu me passes la corde au cou Je la garderai pour me pendre J’aurais fait tout pour te plaire Mais j’aurais mieux fait de me taire
Mais il y a des matins comme ça Ah ah
On se coince, on se défile Quand nos esprits se rangent Nos coeurs ne tiennent plus qu’à un fil.
Si on prenait le temps de se toucher Je te rendrais les coups que tu m’as donnés Si on prenait le temps de se parler Je te dirais combien je te hais. Si on prenait le temps de se retrouver Je saurais tenir le store caché. Si on prenait de se délivrer Je garderais les clés de cette prison dorée.
Aux génériques t’écriras mon nom en petit. Dans ma chambre d’hôtel je repasse au ralenti.
La scène où j’attirais la foudre Quand tu mettais le feu au poudre J’ai toujours pas compris La fin qu’on a choisi
Longtemps tu t’es couché de bonne heure Malheur, malheur J’arrache les pages qui se tournent avant l’heure.