Dans le noir du ciel cette lueur de sang nous ravive l’espoir de la chair et du vent Par delà le pleines d’une vie sans effroi la chaleur d’une ombre qu’on ne voit pas Atteler ces mornes âmes à l’espoir d’infimes moments de joie que l’on décime Seul cavalier errant aux yeux clairvoyants trépidant de haine les yeux en sang Guide du destin au passé sanglant L’azur aux couleurs argent lui faisant foi d’une étendue d’humains faibles et chantants