Elle use, abuse des charmes de l’enfance Ses baisers, ses sourires, arrachent a la vie son essence Elle attend, entend cette etrange chose : Sa faim s’etend et enfin elle ose Sortir du placard toute ses idees malsaines Nourrit des meurtres qui passent sans cesse a l’antenne Qui pourrait douter de son eternelle innocence Un regard d’ange avec un peu de violence Elle fait danser les hommes comme des marionnettes Avec tant d’aisance et un peu de violence La valse des morts sur un semple de VEP Avec un peu de violence, un peu de violence Elle sent le sang, sensible a l’odeur humaine Son regard se fige sur le battement des veines Son lit est vide du crepuscule a l’aube Des victimes tombent partout ou elle rode Elle prend sa propre vie dans celle des autres avec indifference Arrachant aux gens le souvenir de leur epoque IRMAVEP pleure sans penser a ses fautes ni aux souffrances Elle pleure la lumiere mais des meurtres elle se moque Elle fait danser les hommes comme des marionnettes Avec tant d’aisance et un peu de violence La valse des morts sur un semple de VEP Avec un peu de violence, un peu de violence Un peu de violence un peu de violence