Les passants passant, j'passe mon temps a les r'garder penser, leurs pas pressés, dans leurs corps lésés, leurs passés se dévoilent dans les pas sans se soucier
Que, suspicieuse, à l'affût, Je perçois le jeu de pan, leurs visages comme des masques me fait l'effet repugnant, que faire semblant, c'est dans l'air du temps.
Passe, passe, passera La dernière restera
L'enfant n'est fait que de fêtes, Le fait est que l'effet se reflète à sa capacité de prendre le fait tel qu'il est Sans se référer à un système de pensée dans sa tête.
L'automne dèja, c'était l'été hier encore, le temps me surprend, semble s'accélérer, les chiffres de mon age, m'amènent vers ce moi rêver
Passe, passe, passera La dernière restera
Chaque mois se joue dans des cycles différents, C'est marrant ces remous qui m'animent à travers l'temps d'un état à un autre, J'oscille inexorablement
Par les temps je cours à l'équilibre Chaque jugement sur les gens me donne la direction à suivre Sur ces choses en moi à changer Qui m'empêche d'être libre
Les voix se libèrent et s'exposent dans les vitrines du monde en mouvement, Les corps qui dansent en osmose, Glissent, tremblent, se confondent et s'attirent irrésistiblement
Par les temps je cours à l'expression, Chaque émotion ressentie me donne envie d'exprimer les non-dits Et que justice soit faite dans nos pauvres vies endormies