Oublie le temps qui passe S'il ne revient pas C'est qu'il y a des jours qui lassent Et des lunes qui restent là
Oublie toutes ces impasses Qui n'évitent pas Tous ces maux vieux de guerre lasse Cette lumière qui brûle ta voix
Efface tout ça Mais n'oublie pas De croire en toi
Les yeux androgynes Sont si fragiles Les yeux androgynes S'expriment Les yeux androgynes Sont si fragiles Les yeux androgynes S'expriment S'âbiment au fond de toi
Oublie ces hommes, ces femmes Qui ne te voient pas Toutes les différences agacent Les gens vides ne souffrent pas
Oublie ce vent qui glace Ta vie à l'étroit Ou tu crèves ou tu fais face Mais surtout n'y pense pas
Efface tout ça Mais n'oublie pas De croire en toi
Les yeux androgynes Sont si fragiles Les yeux androgynes S'expriment Les yeux androgynes Sont si fragiles Les yeux androgynes S'expriment, s'âbiment
Les yeux androgynes Sont si fragiles Les yeux androgynes S'expriment Les yeux androgynes Sont si fragiles Les yeux androgynes S'expriment S'âbiment au fond de toi