C'était un jour comme un autre, Réveil difficile, Rien envie de foutre, Je me promene.
Des heures entières passées en cours, Des heures entières passées à court d'idées. Je crois qu'ils veulent tous nous formater, Comme des machines, Pour ensuite nous recycler, Oh, cette vie me trépasse Et quelque chose il faut qu'on fasse, Alors
Ouvres ton esprit ! C'est pas l'envie qui te manque, Mais cette ennui qui te hante. A force de errer dans Paris, Les dès à la main, oui, J'ouvres les paris. On va pas rester assis... J'éspère.
Et moi qui croyais, Depuis tout gosse aux contes de fées, J'me suis vite confronté à cette réalité, Et y a une leçon que j'ai apprise, Oh oui, que j'ai apprise, Lorsque tu joues avec les flammes, Attend toi à toutes sortes de surprises ! Alors
Ouvres ton esprit ! C'est pas l'envie qui te manque, Mais cette ennui qui te hante. A force de errer dans Paris, Les dès à la main, oui, J'ouvres les paris. On va pas rester assis... J'éspère.
C'était un jour comme un autre, Réveil difficile, Rien envie de foutre, Mais encore une fois, Je rentre dans la douche, Je me rase puis, me coiffe Enfin m'habille. Je fais semblant d'avoir une hygiène de vie. Mon quotidien m'attend, Même si je sais plus pourquoi, Je suis censé sourire, Et faire semblant que ça va, Mais t'façon j'ai l'habitude, Mes fesses se sont faites aux chaises de bureaux, Cravates à fleur rétro, adieu la coupe afro. Je trie des paperasses du matin au soir, Pourtant, comme tant d'autres, J'avais des rêves des choses à voir, Et par dessus tout je voulais pas qu'on me dise de m'assoir mais... J'espère.
Alors. Ouvres ton esprit ! C'est pas l'envie qui te manque, Mais cette ennui qui te hante. A force de errer dans Paris, Les dès à la main, oui, J'ouvres les paris. On va pas rester assis... J'éspère...