L'homme n'est qu'un animal qui bouffe toute la vie autour. L'esprit pousse-toi de là que je m'y mette. La norme dicte son idéal, la simplicité n'a plus goût. La télé lui apprend à être bête. Alors lance-toi dans la quête du pouvoir, écrase tout sur ton passage, Avec un peu de chance tu seras une pop-star, peu importe qui tu es, ce qui compte c'est l'image.
Bienvenue sur la planète du chacun pour soi, Ici la connerie est reine, l'égoïsme roi. Dès l'enfance on t'enseigne la passion du fric, pour une croisade hyperbolique.
L'homme n'est qu'une bactérie qui empoisonne tout ce qu'il touche, jusqu'à enlaidir la beauté. Ce monde n'est que tragédie et son progrès l'étouffe, tout le monde s'en tape et laisse aller! Alors sourit, pauvre manipulé mais borgne dans ton atrophie, écoeuré de t'auto-censurer au point d'en venir à rêver d'anarchie
Bienvenue sur la planète du chacun pour soi, Ici la connerie est reine, l'égoïsme roi. Dès l'enfance on t'enseigne la passion du fric, pour une croisade hyperbolique.
La liberté d’âme devenue illégale, obligé de vivre caché, car dehors tout ce qui n'est pas normal, est considéré comme alliéné! Ce mal à l'homme qui m'habite et m'obsède, mais qui n'a pas de remède, m’emprisonne, me laissant seul, sans repère, et lentement me perd!