Ne jamais dévoiler le dilemne. Ne jamais se déconstruire. Ne jamais penser aux blessures qui saignent. Ne jamais ressasser le problème Qui ne ferait que te nuire. Ne jamais fourvoyer de haine Ce mal qui s'égrène.
Ses torts encore s'élèvent de tant de furie, Puisqu'elle se perd seule sur l'autre rive. Sous tes lambeaux de chair se noie l'illusive. Silence. Observe... Depuis l'autre rive.
Désormais refouler le dilemne. Désormais s'en affranchir. Désormais panser tes blessures qui saignent. Désormais s'absoudre du problème Qui n'esquisse que des sourires. Désormais décrier, défaire, Ce mal qui se crève.
Ses torts encore s'élèvent de tant de furie, Puisqu'elle se perd seule sur l'autre rive.
L'oeil depuis le rivage rivé sans cillage. Tous ces leurres sans un heurt Se sont désabusés, déjoués. Désaxée, désignée, désarmée