Je traîne mes alles Les yeux fermes Laissant mes plumes Aux âmes désavouées Je brise les coeurs Et les questions Tout en douceur Sous la forme et le fond
Je sème le vent, les autans Et je sauve les apparences Mais quand je crie, nul n’entend Nul ne voit à quoi je pense
J’ai bien perdu Ma peau de fée Mes taches de rousseur Mon air désabusé J’ai vu passer Main je n’en vois plus Des anges paumés Bien trop souvent déchus
Je sème le vent, les autans Et je sauve les apparences Mais quand je crie, nul n’entend Nul ne voit à quoi je pense