Si noir, si noir, si noir Est le doute qui persiste dans tes yeux. Brouillard, brouillard, brouillard Dans les souvenirs de ton esprit cendreux.
Devoir, devoir, devoir Subir, enchaîné, ces jours malheureux... Trop tard, trop tard, trop tard, La lumière sentimentale est douloureuse.
Si noir, si noir, si noir Est le doute qui persiste dans tes yeux. Brouillard, brouillard, brouillard Dans cette élégie de ton esprit cendreux.
Toutes les couleurs de cet amour seront donc (bientôt) Cloîtrées dans le coffret que je garderai bien au frais. Passe une bonne nuit !
Ils sont toujours là, ils ne me quittent pas, Mes rêves ambigus toujours plus confus Dans lesquels je me vois renaître en un objet préconçu. Mon coeur brisé se trouve au sommet de la pile que forment les déchets.
Si noir, si noir, si noir Est le doute qui persiste dans tes yeux. Brouillard, brouillard, brouillard Dans la mélodie de ton esprit cendreux.
Devoir, devoir, devoir Subir sans rien dire un présent spécieux... J'ai froid, j'ai froid, j'ai froid Dans ce monde où on ne peut pas être deux...
Toutes les couleurs de ce chagrin seront donc (bientôt) Cloîtrées dans le coffret que je garderai bien caché. Au revoir, adieu !
J'ai hâte mais j'ai froid, je veux mais j'peux pas, Le ciel est si noir, je me noie sans toi. Sans cesser de jouer toujours chaque accord trop coloré, Le contenu de la chrysalide s'est dérobé, ooh !
Ils sont toujours là, ils ne me quittent pas, Mes rêves ambigus toujours plus confus Dans lesquels je me vois renaître en un objet préconçu. Mon coeur brisé se trouve au sommet de la pile que forment les déchets.