Propage la rumeur des chaînes Vois s’étouffer les proies sous ta serre. Tel un venin qu’on assène, Ellébore, évapore ton fiel mortifère.
Ils font de toi le nerf de leur guerre, Un laminaire prédicateur. Ils font de toi leur outil de misère, Père Ellébore, maître faussaire.
Monts et merveilles se déchaînent Vois comme ils chérissent ta langue de vipère. Telle un traître avant la Cène, Ellébore, évapore ton fiel mortifère.
Change les vents en tempête Sertis les murs de Gangrène Retourne la Fortune aux Orfèvres Provoque l’érythème.
Ton étendard est un rideau de verre Agonisant sous leur genèse. Sans foi ni loi, sans luminaire, Tu l’as tissé de catachrèses.
Change les vents en tempête Sertis les murs de Gangrène Retourne la Fortune aux Orfèvres Provoque l’érythème.
Ton étendard est un rideau de verre, Sans foi ni loi, sans luminaire.
Provoque l'érythème.
Propage la rumeur des chaînes Vois s’étouffer les proies sous ta serre. Tel un venin qu’on assène, Ellébore, évapore ton fiel mortifère.
Monts et merveilles se déchaînent Vois comme ils chérissent ta langue de vipère. Telle un traître avant la Cène, Ellébore, évapore ton fiel… mortifère.
Changez les vents en Comètes Sertissez les murs de Bohème Retournez la Foudre aux Orfèvres Et bannissez l’érythème. Retournez la Foudre aux Orfèvres Et bannissez l’érythème.