Voglio una casa, la voglio bella Piena di luce come una stella Piena di sole e di fortuna E sopra il tetto spunti la luna Piena di riso, piena di pianto Casa ti sogno, ti sogno tanto Dididindi, Dididindi...
Voglio una casa, per tanta gente La voglio solida ed accogliente, Robusta e calda, semplice e vera Per farci musica matina e sera E la poesia abbia il suo letto Voglio abitare sotto a quel tetto. Dididindi, Dididindi...
Voglio ogni casa, che sia abitata E più nessuno dorma per strada Come un cane a mendicare Perchè non ha più dove andare Come una bestia trattato a sputi E mai nessuno, nessuno lo aiuti. Dididindi, Dididindi...
Voglio una casa per i ragazzi, che non sanno mai dove incontrarsi e per i vecchi, case capienti che possano vivere con i parenti case non care, per le famiglie e che ci nascano figli e figlie. Dididindi, Dididindi...
(Je veux une maison, je la veux jolie, remplie de lumière comme une étoile, remplie de soleil et de chance et que sur son toit se lève la lune, remplie de rires, remplie de pleurs. Ô ma maison, je rêve de toi, je rêve tellement de toi. Dididindi, Dididindi...
Je veux une maison pour beaucoup de monde. Je la veux solide et accueillante, forte et chaude, simple et vraie, pour y faire de la musique du matin au soir et où la poésie aurait son lit. Je veux habiter sous ce toit. Dididindi, Dididindi...
Je veux une maison qui soit habitée et que plus personne ne dorme dans la rue comme un chien, en mendiant n’ayant plus nulle part où aller, se faisant cracher dessus, comme une bête sans que pas un, pas une, ne l’aide. Dididindi, Dididindi...
Je veux une maison pour les jeunes, qui ne savent jamais où se rencontrer et aussi pour les vieux, des grandes maisons pour qu’ils puissent vivre avec leurs proches : des maisons pas chères, pour les familles où naîtront des fils et des filles. Dididindi, Dididindi...