J’ai vu en vous tant et tant D’alchimie au printemps J’ai lu en vous tant et tant De frissons en dedans Hou hou hou hou hou
Mais j’ai lu dans ces yeux Le je ne sais quoi d’un terrible aveu Le feu du désarroi Et pourtant, et pourtant Hou hou hou hou hou
Je sens dans ces doigts L’essence de ma joie Je vois dans ces bras Le vent du fracas Je vois dans cette bouche Tes quelques voix farouches Hou hou hou hou hou
Et sur ce nez L’odeur du baiser J’entends dans cette oreille L’écho d’une merveille Hou hou hou hou hou
Le bruit d’une nuit Qui à jamais s’enfuie Le bruit d’une nuit Qui à jamais s’enfuie Le bruit de celui qui se brûle En poème et virgule de je t’aime Nous sommes seuls au monde