Tout se dessine pour le mieux, quand le son transperce les murs, recouvre la ville comme une nappe en suspend, aucune trêve, aucun répit. Mais le silence s'installe, crée en moi le doute, ce calme pesant et cruel à la fois, dure réalité quand le temps se fige. Je prie ton retour, musique fracassante, le vacarme anesthésie ma douleur, puissant, énergique, j'oublie ton visage, j'oublie la peur. Peu à peu ton visage s'illumine, me foudroie en plein c--ur, les vacarmes de la terre n'y feront rien, je ne peux continuer à fuir...
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